Turbulences municipales

L'année 2017 aura apporté son lot de péripéties concernant la vie municipale tarnaise. Deux cas en témoignent. A Saint-Sulpice-la-Pointe, la situation éprouvante imposée à la première magistrate élue en 2014, Dominique Rondi-Sarrat, a pris fin avec une élection partielle (les 26 novembre et 3 décembre) et la victoire de la liste conduite par Raphaël Bernardin. Celui-ci, avec l'étiquette de La République en marche, est le nouveau maire de la commune.

A Albi, les dernières semaines ont vu s'afficher une déchirure au sein de la majorité municipale pilotée par Stéphanie Guiraud-Chaumeil depuis mars 2014 : la démission de la deuxième adjointe, Muriel Roques-Etienne, annoncée lors de la séance du conseil municipal du 18 décembre, constitue un premier pas vers une évolution des rapports entre les élus de la majorité albigeoise et de leurs objectifs pour la future campagne des élections municipales de 2020.

Il sera intéressant d'observer le déroulement de l'action municipale et intercommunale au cours des deux prochaines années...